Le pétrole restera sous terre. Suite au référendum du dimanche 20 août, les quelque 13 millions d’Équatoriens en ont décidé ainsi : le pays se passera de la manne financière que représente l’exploitation du Bloc 43, situé en grande partie dans le parc naturel de Yasuni et responsable de 12 % de la production nationale d’or noir du pays.
Les fourmis yuturi sont pacifiques, sauf si leur territoire est menacé. Cette espèce, également connue sous le nom de « conga », est considérée comme une guerrière par la culture kichwa, car elle n’autorise personne à entrer chez elle sans permission. C’est également ce qui est arrivé aux femmes de Serena, une communauté autochtone située sur les rives du fleuve Jatunyacu, sur le haut Río Napo, en Amazonie équatorienne.
Las hormigas yuturi son pacíficas hasta que su territorio se ve amenazado. La especie, también conocida como “conga”, es considerada una guerrera por la cultura indígena kichwa, pues se sabe que no permiten que nadie entre a su casa sin permiso. Lo mismo sucedió con las mujeres de Serena, comunidad indígena ubicada a orillas del río Jatunyacu, en el Alto Río Napo, en la Amazonía ecuatoriana.
Une enquête montre qu’il est nécessaire de prendre des mesures urgentes pour sauver 80 % de l’Amazonie d’ici à 2025. Déjà 20 % de ce territoire ont été transformés en totalité, 6% montre une importante dégradation et ont besoin d’une restauration, pendant que 33 % sont intacts et 41 % ont de faibles niveaux de dégradation qui ont besoin de protection.
Una investigación presentada por la Red Amazónica de Información Socioambiental Georreferenciada (Raisg) evidencia que es necesario tomar medidas urgentes para salvar el 80% de la Amazonía al 2025. El 20% de este territorio ya ha sido transformado en su totalidad, el 6% tiene una alta degradación y necesita restauración, mientras un 33% está intacto y 41% con bajos niveles de degradación que requieren protección. El análisis revela, además, que el reconocimiento de territorios indígenas ha sido trascendental para la Amazonía: solo el 4% de las hectáreas que pertenecen a estos ha sufrido transformaciones, a comparación del 33% afectado en lugares sin ese reconocimiento ni consideradas áreas protegidas
2 400 hectares, c’est la taille de la traînée de destruction laissée par l’exploitation aurifère illégale en Terre Indigène Yanomami (TIY), située à l’extrême Nord du Brésil entre les États de Roraima et d’Amazonas. Les activités illégales prolifèrent, se rapprochant toujours plus des communautés autochtones et mettant en danger les groupes isolés. Telle est la conclusion d’un rapport inédit publié par l’Association Yanomami Hutukara (HAY) et l’Association Ye’kwana Wanasseduume (Seduume) qui représentent les peuples autochtones de ce territoire.
Les autochtones de la Vallée del Pichis, dans la région amazonienne de Pasco au Pérou, dénoncent la disparition de deux dirigeants et ont annoncé qu’ils prendront les armes contre le narcotrafic. Cette mesure radicale est une des conséquences de l’abdication du gouvernement depuis des années face à l’expansion des plantations illégales de la coca en Amazonie.
Un rapport expose la gravité de la situation : en 35 ans, le pays a vu 15% de sa surface en eau s’assécher. Dans l’État du Mato Grosso do Sul, la perte a été de 57%. La réduction la plus importante a eu lieu près des frontières agricoles ; les températures extrêmes et la construction de barrages aggravent ce processus de destruction.
Los indígenas del Valle del Pichis, ubicado en la región Pasco (Perú), denuncian la desaparición de dos dirigentes y han anunciado que se levantarán en armas contra el narcotráfico. Esta medida radical es un reflejo de lo que está generando el abandono del gobierno desde hace años frente a la expansión de los cultivos de hoja de coca ilícitos en la Amazonía.
En Équateur, 13 nationalités autochtones sont officiellement reconnues, parmi lesquelles les Waorani, qui se considèrent, aux côtés d’autres peuples autochtones, comme les gardien·nes de la forêt amazonienne.