Où vont les Sans-papiers ?

Agir pour les sans-papiers

, par CIIP

Pour lutter contre les violations des droits de l’Homme dont sont victimes les sans-papiers et leur permettre de les informer de leurs droits, des associations s’organisent.
Certaines d’entre elles lancent des campagnes de sensibilisation ou de mobilisation afin d’inciter le public à s’informer et agir.
Pour l’essentiel, ces campagnes dénoncent la législation de plus en plus dure qui régit le droit des étrangers et le droit d’asile en France et en Europe, d’autres dénoncent les conditions d’accueil et de vie inhumaines de beaucoup de sans-papiers dues à la restriction ou suppression de leurs droits sociaux.
Chacun est libre de s’informer par ce biais et d’y participer pour un meilleur respect des droits de l’Homme et des libertés.

Campagnes, pétitions en ligne et/ou liens vers les campagnes en cours sur les sites

D’ailleurs, nous sommes d’ici
Mobilisation et pétition contre le Racisme, contre la politique d’immigration, pour la régularisation des Sans-Papiers.
http://dailleursnoussommesdici.org/

RESF - Réseau éducation sans frontières
Pétition nationale : Laissez-les grandir ici.
www.educationsansfrontieres.org

Réseau Universités sans frontières
Le RUSF a pour objectif de fédérer les initiatives existantes en faveur des étudiants étranger.
www.rusf.org/

Les Amoureux au ban public
Pour le droit des couples mixtes à vivre en famille.
http://amoureuxauban.net/

Uni(e)s contre une immigration jetable
Collectif de 200 associations, syndicats et partis, constitué en janvier 2006 lors de la signature de l’appel pour s’opposer au projet de loi CESEDA (code d’entrée et séjour des étrangers et droit d’asile).
http://contreimmigrationjetable.org

Stop au racket sur les cotisations des travailleurs sans papiers
En octobre 2008, l’association Droits devant !! a lancé la campagne « Racket sur les cotisations des travailleur(se)s sans papiers » (à laquelle se sont ralliées 42 organisations) pour dénoncer l’énorme spoliation commise par l’Etat français depuis au moins quatre décennies.
www.droitsdevant.org/article.php3?id_article=432