Agenda des membres

Samedi 11 octobre 2014

Lieu : En Pays de la Loire

Et aussi...

  • Du 26 au 28 avril la MCM participera aux rencontres ECSA (European Common Space for Alternatives) à Marseille. Préparons la riposte et des alternatives pour un autre monde ! "L’ECSA, un nouveau réseau européen Nous vivons un moment crucial de l’histoire de l’humanité, un moment où les actions et les décisions prises aujourd’hui auront un impact profond sur l’avenir de notre planète et de ses habitants. Pour nous, dans ce contexte, l’altermondialisme et l’internationalisme ne sont pas seulement une noble idée ; ils sont une nécessité urgente. Les défis auxquels nous sommes confrontés, tels que le changement climatique, la perte de biodiversité, les inégalités économiques et sociales, ne connaissent pas de frontières. Ils ont des causes et des effets à l’échelle mondiale. Nos réponses doivent donc également être globales. En unissant nos forces à travers l’Europe et au-delà, nous pouvons commencer à partager nos connaissances, nos stratégies et nos ressources, afin de créer un mouvement plus puissant et plus efficace. Pour l’instant, alors que nous disposons d’un grand nombre de réseaux thématiques en Europe, nous n’avons plus d’espace commun pour tous les mouvements sociaux et citoyens qui nous permettrait de partager nos expériences et nos défis et de développer des initiatives et des mobilisations conjointes. Au début des années 2000, ce rôle a été joué par le Forum social européen (FSE), qui s’est inspiré du Forum social mondial (FSM), une initiative lancée en 2001 à Porto Alegre, au Brésil, en tant que contre-sommet au Forum économique mondial de Davos. Le FSM a été conçu comme un espace où les organisations et les mouvements sociaux qui s’opposent au néolibéralisme et à la mondialisation capitaliste peuvent se rencontrer, échanger des idées et élaborer des stratégies. Les Forums sociaux européens ont adopté cette approche, en se concentrant sur des questions spécifiques à l’Europe. Le premier FSE a eu lieu en 2002 à Florence, en Italie. Ce forum a rassemblé des dizaines de milliers de militants, d’organisations non gouvernementales, de syndicats et d’autres groupes de la société civile. L’événement a été marqué par des débats, des ateliers, des séminaires et des événements culturels, tous centrés sur des questions telles que la paix, la démocratie, les droits de l’homme, l’environnement, la justice sociale et économique. Après le succès de Florence, d’autres forums ont suivi dans différentes villes européennes. Les FSE ont joué un rôle clé en facilitant les échanges entre les différents mouvements sociaux et ont contribué à renforcer la solidarité et la coordination entre eux. Cependant, au fil du temps, leur influence et leur visibilité ont diminué, en partie à cause de l’évolution du paysage politique et social en Europe et des défis internes, tels que le financement, l’organisation et le manque de victoires politiques. Au cours des deux dernières années, de nombreuses réunions et conférences ont permis de discuter de cette absence et de tenter modestement de reconstruire un nouvel espace commun, différent, mais riche de ce que nous apprenons de l’expérience du FSE, de ses succès, mais aussi de ses échecs. Découvrir les rencontres de Marseille Les rencontres de Marseille auront lieu du vendredi 26 au dimanche 28 avril 2024 à la Friche de la Belle de Mai, un lieu culturel important de Marseille, situé en plein centre ville. Pendant trois jours, des dizaines d’ateliers, de conférences de débats animés se tiendront à la Friche et dans des salles aux alentours. Ce sera aussi un lieu où les associations marseillaises pourront exposer leurs réalisations, un lieu où des rencontres multiples et imprévues seront possibles, en particulier sur le toit terrasse qui offre une vue magnifique sur la ville et la méditerranée. Les défis européens Les rencontres de Marseille se tiendront six semaines avant les élections au parlement de l’Union européenne. Cela ne veut pas dire que ces rencontres se limitent aux pays de l’UE ; c’est tout le continent qui est concerné et nous ferons tout notre possible pour réunir des militant.e.s de toute l’Europe ainsi que des invité.e.s de la rive sud de la méditerranée. Les défis qui se posent à l’UE et à ses pays membres se posent de façon similaire aux autres pays européens et c’est de cela dont nous voulons parler durant les rencontres de Marseille. Comment stopper le drame des migrants qui se noient dans le cimetière marin qu’est devenue la mer Méditerranée et accueillir dignement migrants et demandeurs d’asile ? Comment agir efficacement face au changement climatique et à la dégradation rapide de la biodiversité ? Comment développer la démocratie face à la montée de l’extrême droite, dans chacun de nos pays comme dans l’Union européenne ? Comment assurer, pour toutes et tous, le droit au logement, un travail digne et bien rémunéré,et le refus de toutes formes de discriminations ? Telles sont quelques-unes des questions que nous discuterons et auxquelles nous tenterons de répondre." "Face aux nombreux défis auxquels l’Europe a été et demeure confrontée, les mouvements sociaux et citoyens ont besoin d’un espace pour discuter collectivement, préparer la riposte et des alternatives pour un autre monde. Pour échanger avec des militant·es de toute l’Europe, une rencontre ouverte à toutes et tous, sera organisée à Marseille du 26 au 28 avril 2024. Ce sera le seul gros événement de l’année, puisqu’il n’y a pas d’Université d’été en France, en raison des Jeux Olympiques. Ces rencontres sont une étape importante dans un processus engagé il y a près de deux ans pendant l’Université européenne des mouvements sociaux en août 2022 (à Monchengladbach en Allemagne), puis lors d’une conférence des mouvements sociaux italiens à l’occasion des vingt ans de la création du premier Forum Social Européen à Florence (2022). Ces rencontres se tiendront sur trois jours, du vendredi 26 au dimanche 28 avril à Marseille, dans un lieu culturel bien connu des marseillais, la Friche de la Belle de Mai." Vous pouvez vous inscrire à cette grande rencontre via le lien suivant : ECSA inscription Cet événement est ouvert à toutes et tous, inscrivez-vous au plus vite ici. Du 26 au 28 avril la MCM participera aux rencontres ECSA (European Common Space for Alternatives) à Marseille. Préparons la riposte et des alternatives pour un autre monde ! "L’ECSA, un nouveau réseau européen Nous vivons un moment crucial de l’histoire de l’humanité, un moment où les actions et les décisions prises aujourd’hui auront un impact profond sur l’avenir de notre planète et de ses habitants. Pour nous, dans ce contexte, l’altermondialisme et l’internationalisme ne sont pas seulement une noble idée ; ils sont une nécessité urgente. Les défis auxquels nous sommes confrontés, tels que le changement climatique, la perte de biodiversité, les inégalités économiques et sociales, ne connaissent pas de frontières. Ils ont des causes et des effets à l’échelle mondiale. Nos réponses doivent donc également être globales. En unissant nos forces à travers l’Europe et au-delà, nous pouvons commencer à partager nos connaissances, nos stratégies et nos ressources, afin de créer un mouvement plus puissant et plus efficace. Pour l’instant, alors que nous disposons d’un grand nombre de réseaux thématiques en Europe, nous n’avons plus d’espace commun pour tous les mouvements sociaux et citoyens qui nous permettrait de partager nos expériences et nos défis et de développer des initiatives et des mobilisations conjointes. Au début des années 2000, ce rôle a été joué par le Forum social européen (FSE), qui s’est inspiré du Forum social mondial (FSM), une initiative lancée en 2001 à Porto Alegre, au Brésil, en tant que contre-sommet au Forum économique mondial de Davos. Le FSM a été conçu comme un espace où les organisations et les mouvements sociaux qui s’opposent au néolibéralisme et à la mondialisation capitaliste peuvent se rencontrer, échanger des idées et élaborer des stratégies. Les Forums sociaux européens ont adopté cette approche, en se concentrant sur des questions spécifiques à l’Europe. Le premier FSE a eu lieu en 2002 à Florence, en Italie. Ce forum a rassemblé des dizaines de milliers de militants, d’organisations non gouvernementales, de syndicats et d’autres groupes de la société civile. L’événement a été marqué par des débats, des ateliers, des séminaires et des événements culturels, tous centrés sur des questions telles que la paix, la démocratie, les droits de l’homme, l’environnement, la justice sociale et économique. Après le succès de Florence, d’autres forums ont suivi dans différentes villes européennes. Les FSE ont joué un rôle clé en facilitant les échanges entre les différents mouvements sociaux et ont contribué à renforcer la solidarité et la coordination entre eux. Cependant, au fil du temps, leur influence et leur visibilité ont diminué, en partie à cause de l’évolution du paysage politique et social en Europe et des défis internes, tels que le financement, l’organisation et le manque de victoires politiques. Au cours des deux dernières années, de nombreuses réunions et conférences ont permis de discuter de cette absence et de tenter modestement de reconstruire un nouvel espace commun, différent, mais riche de ce que nous apprenons de l’expérience du FSE, de ses succès, mais aussi de ses échecs. Découvrir les rencontres de Marseille Les rencontres de Marseille auront lieu du vendredi 26 au dimanche 28 avril 2024 à la Friche de la Belle de Mai, un lieu culturel important de Marseille, situé en plein centre ville. Pendant trois jours, des dizaines d’ateliers, de conférences de débats animés se tiendront à la Friche et dans des salles aux alentours. Ce sera aussi un lieu où les associations marseillaises pourront exposer leurs réalisations, un lieu où des rencontres multiples et imprévues seront possibles, en particulier sur le toit terrasse qui offre une vue magnifique sur la ville et la méditerranée. Les défis européens Les rencontres de Marseille se tiendront six semaines avant les élections au parlement de l’Union européenne. Cela ne veut pas dire que ces rencontres se limitent aux pays de l’UE ; c’est tout le continent qui est concerné et nous ferons tout notre possible pour réunir des militant.e.s de toute l’Europe ainsi que des invité.e.s de la rive sud de la méditerranée. Les défis qui se posent à l’UE et à ses pays membres se posent de façon similaire aux autres pays européens et c’est de cela dont nous voulons parler durant les rencontres de Marseille. Comment stopper le drame des migrants qui se noient dans le cimetière marin qu’est devenue la mer Méditerranée et accueillir dignement migrants et demandeurs d’asile ? Comment agir efficacement face au changement climatique et à la dégradation rapide de la biodiversité ? Comment développer la démocratie face à la montée de l’extrême droite, dans chacun de nos pays comme dans l’Union européenne ? Comment assurer, pour toutes et tous, le droit au logement, un travail digne et bien rémunéré,et le refus de toutes formes de discriminations ? Telles sont quelques-unes des questions que nous discuterons et auxquelles nous tenterons de répondre." "Face aux nombreux défis auxquels l’Europe a été et demeure confrontée, les mouvements sociaux et citoyens ont besoin d’un espace pour discuter collectivement, préparer la riposte et des alternatives pour un autre monde. Pour échanger avec des militant·es de toute l’Europe, une rencontre ouverte à toutes et tous, sera organisée à Marseille du 26 au 28 avril 2024. Ce sera le seul gros événement de l’année, puisqu’il n’y a pas d’Université d’été en France, en raison des Jeux Olympiques. Ces rencontres sont une étape importante dans un processus engagé il y a près de deux ans pendant l’Université européenne des mouvements sociaux en août 2022 (à Monchengladbach en Allemagne), puis lors d’une conférence des mouvements sociaux italiens à l’occasion des vingt ans de la création du premier Forum Social Européen à Florence (2022). Ces rencontres se tiendront sur trois jours, du vendredi 26 au dimanche 28 avril à Marseille, dans un lieu culturel bien connu des marseillais, la Friche de la Belle de Mai." Vous pouvez vous inscrire à cette grande rencontre via le lien suivant : ECSA inscription Cet événement est ouvert à toutes et tous, inscrivez-vous au plus vite ici.

    Friche la Belle de Mai

  • Samedi 27 avril COLERE Nantes vous invite à son festival anti-CRA ! Une journée de discussion et de fête contre le projet de construction d’un CRA à Nantes. Au programme : des débats, une expo, des concerts live et DJ sets, une librairie, une cantine... Ouverture des portes à 15h00. Programme détaillé à venir... Venez nombreux.euses ! CRA, ni ici, ni ailleurs ! COLERE, qu’est-ce que c’est ? Octobre 2022, le ministère de l’Intérieur annonçait sa volonté de construire un centre de rétention administrative dans le département de Loire-Atlantique. Nos organisations associatives, syndicales et politiques se sont réunies pour s’y opposer. Qu’est-ce qu’un centre de rétention administrative (CRA) ? Un CRA est un lieu de privation de liberté. Le placement en rétention est une décision administrative, prise par le Préfet, permettant d’enfermer une personne de nationalité étrangère sans titre de séjour dans l’attente de son éloignement forcé du territoire. En réalité, c’est une prison qui ne dit pas son nom. On y enferme des hommes et des femmes, qu’elles.ils soient « sans papiers » ou bien sortant d’une autre prison en attendant d’être expulsé.e.s. Les sortant.e.s de prison qui y sont enfermé.e.s exécutent une double peine pour le seul fait d’être étranger.e.s. Jusqu’en janvier 2024, la loi permettait d’y enfermer des enfants. Cette situation est toujours d’actualité à Mayotte. Des prisons pour étrangers aux conditions indignes À onze reprises déjà, la France a été condamnée par la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) pour l’enfermement d’enfants dans les CRA, dont des nourrissons. De plus, les conditions d’enfermement sont largement décriées par tou.te.s : nourriture insuffisante, locaux insalubres et mal entretenus, impossibilité de mettre en place des mesures de distanciation lors de la pandémie de Covid. De nouveaux CRA en France D’ici 2027, le ministère de l’Intérieur souhaite doubler la capacité des centres de rétention administrative en France pour atteindre 3 000 places. Pour cela, la construction de CRA a été annoncée à Dijon, Oissel, Béziers, Aix-en-Provence, Goussainville, Nice, Olivet, Mérignac, Mayotte, Dunkerque et Nantes. Ce projet s’inscrit dans une stratégie politique qui surfe sur un climat sécuritaire et xénophobe croissant, déjà affirmé par la promulgation de la loi immigration. Une coordination pour s’opposer à la construction du CRA en Loire-Atlantique Rassemblant des organisations syndicales, associatives et politiques, notre coordination : – s’oppose à la construction d’un Centre de Rétention Administratif en Loire-Atlantique ; – refuse le principe même de l’enfermement administratif des personnes étrangères et revendique la fermeture de tous les CRA ; – dénonce le traitement pénal discriminatoire réservé aux personnes étrangères qui n’ont pas obtenu de régularisation administrative, et la double peine que les personnes sortant de prison exécutent pour le simple fait d’être étrangères ; – combat tous les racismes ; – revendique la solidarité internationale entre les peuples. Membres de la coordination COLERE Nantes : Syndicats : Union Syndicale Solidaires, SAF (Syndicat des Avocats de France), CGT 44 (Confédération Générale du Travail), FSU 44 (Fédération Syndicale Unitaire). Associations : LDH (Ligue des Droits de l’Homme), GASPROM, Soutien exilés 44, Cimade, ATTAC 44, Les Bienveilleurs 44, DAL44 (Droit au Logement), MRAP (Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples), AVEC [Nantes] (Association de Veille Écologique et Sociale), AFPS 44 (Association France Palestine Solidarité), Patron.ne.s Solidaires Nantes. Organisations politiques : Les Écologistes – EELV, GD Samedi 27 avril COLERE Nantes vous invite à son festival anti-CRA ! Une journée de discussion et de fête contre le projet de construction d’un CRA à Nantes. Au programme : des débats, une expo, des concerts live et DJ sets, une librairie, une cantine... Ouverture des portes à 15h00. Programme détaillé à venir... Venez nombreux.euses ! CRA, ni ici, ni ailleurs ! COLERE, qu’est-ce que c’est ? Octobre 2022, le ministère de l’Intérieur annonçait sa volonté de construire un centre de rétention administrative dans le département de Loire-Atlantique. Nos organisations associatives, syndicales et politiques se sont réunies pour s’y opposer. Qu’est-ce qu’un centre de rétention administrative (CRA) ? Un CRA est un lieu de privation de liberté. Le placement en rétention est une décision administrative, prise par le Préfet, permettant d’enfermer une personne de nationalité étrangère sans titre de séjour dans l’attente de son éloignement forcé du territoire. En réalité, c’est une prison qui ne dit pas son nom. On y enferme des hommes et des femmes, qu’elles.ils soient « sans papiers » ou bien sortant d’une autre prison en attendant d’être expulsé.e.s. Les sortant.e.s de prison qui y sont enfermé.e.s exécutent une double peine pour le seul fait d’être étranger.e.s. Jusqu’en janvier 2024, la loi permettait d’y enfermer des enfants. Cette situation est toujours d’actualité à Mayotte. Des prisons pour étrangers aux conditions indignes À onze reprises déjà, la France a été condamnée par la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) pour l’enfermement d’enfants dans les CRA, dont des nourrissons. De plus, les conditions d’enfermement sont largement décriées par tou.te.s : nourriture insuffisante, locaux insalubres et mal entretenus, impossibilité de mettre en place des mesures de distanciation lors de la pandémie de Covid. De nouveaux CRA en France D’ici 2027, le ministère de l’Intérieur souhaite doubler la capacité des centres de rétention administrative en France pour atteindre 3 000 places. Pour cela, la construction de CRA a été annoncée à Dijon, Oissel, Béziers, Aix-en-Provence, Goussainville, Nice, Olivet, Mérignac, Mayotte, Dunkerque et Nantes. Ce projet s’inscrit dans une stratégie politique qui surfe sur un climat sécuritaire et xénophobe croissant, déjà affirmé par la promulgation de la loi immigration. Une coordination pour s’opposer à la construction du CRA en Loire-Atlantique Rassemblant des organisations syndicales, associatives et politiques, notre coordination : – s’oppose à la construction d’un Centre de Rétention Administratif en Loire-Atlantique ; – refuse le principe même de l’enfermement administratif des personnes étrangères et revendique la fermeture de tous les CRA ; – dénonce le traitement pénal discriminatoire réservé aux personnes étrangères qui n’ont pas obtenu de régularisation administrative, et la double peine que les personnes sortant de prison exécutent pour le simple fait d’être étrangères ; – combat tous les racismes ; – revendique la solidarité internationale entre les peuples. Membres de la coordination COLERE Nantes : Syndicats : Union Syndicale Solidaires, SAF (Syndicat des Avocats de France), CGT 44 (Confédération Générale du Travail), FSU 44 (Fédération Syndicale Unitaire). Associations : LDH (Ligue des Droits de l’Homme), GASPROM, Soutien exilés 44, Cimade, ATTAC 44, Les Bienveilleurs 44, DAL44 (Droit au Logement), MRAP (Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples), AVEC [Nantes] (Association de Veille Écologique et Sociale), AFPS 44 (Association France Palestine Solidarité), Patron.ne.s Solidaires Nantes. Organisations politiques : Les Écologistes – EELV, GD

    Les Ateliers de Bitche

  • PACCO vous propose un atelier yoga / méditation deux mercredis par mois de 16h à 17h15 et ça se passe dans les locaux de la MCM ! PACCO vous propose un atelier yoga / méditation deux mercredis par mois de 16h à 17h15 et ça se passe dans les locaux de la MCM !

    Maison des Citoyens du Monde